Trouver ses marques, renouer avec la patience
Monsieur Pap passe une autre journée dans la tapisserie là bas. Ici on continue à déballer et à d'attribuer à chaque chose une nouvelle place. Je remise beaucoup aussi pour ne pas surcharger une maison plus petite. Heureusement les anciens occupants ont crée un étage au garage, c'est notre grenier pour stocker. J'y aurai bien fait un grenier à la Jo March. Peut être un jour auront ils cette envie là aussi, une petite cabane à l'étage. Un jour où un bébé (non non ce n'est pas sur l'agenda pou l'instant mais un jour qui sait...) crierait trop fort et qu'ils voudraient un peu de calme et d'espace. D'ici là le grenier sera tellement bien rempli qu'il a fort peu de chance qu'il reste de la place pour leurs jeux.
Dans l'après midi nous sommes retournés nous promener sur le petit chemin tous les trois: mûres et prunes.
Nous avons finalement sorti des barrières rudimentaires pour les escaliers trop tentants pour les explorateurs en herbe. Il est difficile de se sortir des cartons en ayant deux petites pommes espiègles à surveiller. Ils trouvent avant nous les failles de notre nouvelle maison et son agencement. Je me surprends à avoir la main leste et la gronde facile. On s 'explique et on remet les compteurs à zéro.